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Untangle: Aiding Global Function Pointer Hijacking for Post-CET Binary Exploitation : 20th International conference on detection of intrusions and malware, and vulnerability assessment, DIMVA 2023

Bertani, Alessandro ; Bonelli, Marco ; et al.

In: Lecture notes in computer science, Jg. 13959 (2023), S. 256-276

Konferenz

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The Application of Immersive Virtual Reality for Children's Road Education: Validation of a Pedestrian Crossing Scenario : Ist International conference on extended reality, XR Salento 2022

De Cet, Giulia ; Baldassa, Andrea ; et al.

In: Lecture notes in computer science, Jg. 13446 (2022), S. 128-140

Konferenz

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How to Improve Vehicle Lateral Control: The Effect of Visual Feedback Luminance : 1st Conference on Extended Reality

Rossi, Riccardo ; De Cet, Giulia ; et al.

In: Lecture notes in computer science, Jg. 13445 (2022), S. 324-334

Konferenz

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Note sur le presence de l'entomopathogene Beauveria bassiana (Hyphomycete, Deuteromycotinae) sur Schistocerca gregaria (Orthopthera, Acrididae) sur le terram a Adrar (Algerie) effet sur le rythme cardiaque et respiratoire de cet acridien : Crop protection

Doumandj-Mitiche, B. ; Halouane, F. ; et al.

In: MEDEDELINGEN- FACULTEIT LANDBOUWKUNDIGE EN TOEGEPASTE BIOLOGISCHE WETENSCHAPPEN, Jg. 62, Heft 2, S. 499-506

Konferenz

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'Cet acte sacre: ecrire.' Literature and the sacred in the world of Michel Tournier : European integration and the European mind: cultural hegemony or dialogue of cultures

Milne, L.

In: HISTORY OF EUROPEAN IDEAS, Jg. 20, Heft 1/3, S. 311-316

Konferenz

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A Driving Simulator Study Exploring the Effect of Different Mental Models on ADAS System Effectiveness : Augmented reality, virtual reality, and computer graphics (7th international conference)

Rossi, Riccardo ; Gastaldi, Massimiliano ; et al.

In: Lecture notes in computer science, Jg. 12242 (2020), S. 102-113

Konferenz

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Traduction de plusieurs pièces tirées de Pétrone, suivant le manuscrit trouvé à Bellegrade en 1688. Avec plusieurs remarques latines et françoises qui expliquent les endroits les plus difficiles de cet auteur, 1694

Pétroneeur du texte ; Nodot, François. Traducteur

1694

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Planning to Hit the Slopes of Mont Tremblant this Winter? Save with the CVMA Discounts. (English)

In: Canadian Veterinary Journal, Jg. 58 (2017-12-01), Heft 12, S. 1262-1262

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Tav. LXXXV, Hugon Pierre, Appareil servant à carboniser les bois et moyens nouveaux employés à cet effetTav. LXXXV, Hugon Pierre, Appareil servant à carboniser les bois et moyens nouveaux employés à cet effet

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Tav. 75, Von der Poppenberg, Perfectionnements aux armes à feu se chargeant par la culass et aux cartouches employées à cet effetTav. 75, Von der Poppenberg, Perfectionnements aux armes à feu se chargeant par la culass et aux cartouches employées à cet effet

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Cet instrument est conservé dans un boitier en bois.Un fil à plomb se trouve dans un des compartiments du boitier.Il se compose de 3 parties à assembler : la lunette, le niveau à bulle et le socle. La lunette se monte sur le socle entre deux encoches fermées par un loquet. Elle est constituée d'un objectif, d'un oculaire et d'une vis à crémaillère permettant la mise au point de l'image.Une vis située sous la lunette permet de la faire pivoter dans le plan vertical pour ajuster l’horizontalité.Sur la lunette se monte le niveau à bulle inséré dans un tube de laiton. Le socle est constitué d'un pied terminé par un plateau pouvant tourner par rapport à 3 vis calantes. Une vis assure en temps normal le blocage de la rotation du pied et donc de l'ensemble. Cette vis est cassée. Cet appareil est utilisé en topographie pour mesurer l'altitude d'un point par la lecture de deux points sur une mire. Ces mesures seront utilisées ultérieurement pour la réalisation de travaux ou de plans. Le niveau de chantier est vissé sur un trépied.La mire est une règle graduée verticalement et qui atteind généralement une hauteur de 4 mètres. La première étape consiste à régler l'horizontalité de l'appareil à l'aide des vis calantes et du niveau à bulle. La seconde étape constitue la visée en elle-même.L'altitude d'un premier point A est supposée connue. On relève la hauteur en A en visant avec le niveau sur la mire positionnée en A ( manœuvre appelée coup arrière). La mire est déplacée sur le point B dont on veut connaître l'altitude. On refait une nouvelle lecture (manœuvre appelée coup avant). L'altitude en B est égale à l'altitude en A ajoutée de la différence (en plus ou en moins) entre la lecture de A et la lecture de B (coteB = [coteA +( lecture A-lecture B)] Le niveau peut aussi être utilisé pour régler l'altitude d'un élément en connaissant un niveau de référence.

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Cet instrument est conservé dans un boitier en bois.Un fil à plomb se trouve dans un des compartiments du boitier.Il se compose de 3 parties à assembler : la lunette, le niveau à bulle et le socle. La lunette se monte sur le socle entre deux encoches fermées par un loquet. Elle est constituée d'un objectif, d'un oculaire et d'une vis à crémaillère permettant la mise au point de l'image.Une vis située sous la lunette permet de la faire pivoter dans le plan vertical pour ajuster l’horizontalité.Sur la lunette se monte le niveau à bulle inséré dans un tube de laiton. Le socle est constitué d'un pied terminé par un plateau pouvant tourner par rapport à 3 vis calantes. Une vis assure en temps normal le blocage de la rotation du pied et donc de l'ensemble. Cette vis est cassée. Cet appareil est utilisé en topographie pour mesurer l'altitude d'un point par la lecture de deux points sur une mire. Ces mesures seront utilisées ultérieurement pour la réalisation de travaux ou de plans. Le niveau de chantier est vissé sur un trépied.La mire est une règle graduée verticalement et qui atteind généralement une hauteur de 4 mètres. La première étape consiste à régler l'horizontalité de l'appareil à l'aide des vis calantes et du niveau à bulle. La seconde étape constitue la visée en elle-même.L'altitude d'un premier point A est supposée connue. On relève la hauteur en A en visant avec le niveau sur la mire positionnée en A ( manœuvre appelée coup arrière). La mire est déplacée sur le point B dont on veut connaître l'altitude. On refait une nouvelle lecture (manœuvre appelée coup avant). L'altitude en B est égale à l'altitude en A ajoutée de la différence (en plus ou en moins) entre la lecture de A et la lecture de B (coteB = [coteA +( lecture A-lecture B)] Le niveau peut aussi être utilisé pour régler l'altitude d'un élément en connaissant un niveau de référence.

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Cet instrument est conservé dans un boitier en bois.Un fil à plomb se trouve dans un des compartiments du boitier.Il se compose de 3 parties à assembler : la lunette, le niveau à bulle et le socle. La lunette se monte sur le socle entre deux encoches fermées par un loquet. Elle est constituée d'un objectif, d'un oculaire et d'une vis à crémaillère permettant la mise au point de l'image.Une vis située sous la lunette permet de la faire pivoter dans le plan vertical pour ajuster l’horizontalité.Sur la lunette se monte le niveau à bulle inséré dans un tube de laiton. Le socle est constitué d'un pied terminé par un plateau pouvant tourner par rapport à 3 vis calantes. Une vis assure en temps normal le blocage de la rotation du pied et donc de l'ensemble. Cette vis est cassée. Cet appareil est utilisé en topographie pour mesurer l'altitude d'un point par la lecture de deux points sur une mire. Ces mesures seront utilisées ultérieurement pour la réalisation de travaux ou de plans. Le niveau de chantier est vissé sur un trépied.La mire est une règle graduée verticalement et qui atteind généralement une hauteur de 4 mètres. La première étape consiste à régler l'horizontalité de l'appareil à l'aide des vis calantes et du niveau à bulle. La seconde étape constitue la visée en elle-même.L'altitude d'un premier point A est supposée connue. On relève la hauteur en A en visant avec le niveau sur la mire positionnée en A ( manœuvre appelée coup arrière). La mire est déplacée sur le point B dont on veut connaître l'altitude. On refait une nouvelle lecture (manœuvre appelée coup avant). L'altitude en B est égale à l'altitude en A ajoutée de la différence (en plus ou en moins) entre la lecture de A et la lecture de B (coteB = [coteA +( lecture A-lecture B)] Le niveau peut aussi être utilisé pour régler l'altitude d'un élément en connaissant un niveau de référence.

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Cet instrument est conservé dans un boitier en bois.Un fil à plomb se trouve dans un des compartiments du boitier.Il se compose de 3 parties à assembler : la lunette, le niveau à bulle et le socle. La lunette se monte sur le socle entre deux encoches fermées par un loquet. Elle est constituée d'un objectif, d'un oculaire et d'une vis à crémaillère permettant la mise au point de l'image.Une vis située sous la lunette permet de la faire pivoter dans le plan vertical pour ajuster l’horizontalité.Sur la lunette se monte le niveau à bulle inséré dans un tube de laiton. Le socle est constitué d'un pied terminé par un plateau pouvant tourner par rapport à 3 vis calantes. Une vis assure en temps normal le blocage de la rotation du pied et donc de l'ensemble. Cette vis est cassée. Cet appareil est utilisé en topographie pour mesurer l'altitude d'un point par la lecture de deux points sur une mire. Ces mesures seront utilisées ultérieurement pour la réalisation de travaux ou de plans. Le niveau de chantier est vissé sur un trépied.La mire est une règle graduée verticalement et qui atteind généralement une hauteur de 4 mètres. La première étape consiste à régler l'horizontalité de l'appareil à l'aide des vis calantes et du niveau à bulle. La seconde étape constitue la visée en elle-même.L'altitude d'un premier point A est supposée connue. On relève la hauteur en A en visant avec le niveau sur la mire positionnée en A ( manœuvre appelée coup arrière). La mire est déplacée sur le point B dont on veut connaître l'altitude. On refait une nouvelle lecture (manœuvre appelée coup avant). L'altitude en B est égale à l'altitude en A ajoutée de la différence (en plus ou en moins) entre la lecture de A et la lecture de B (coteB = [coteA +( lecture A-lecture B)] Le niveau peut aussi être utilisé pour régler l'altitude d'un élément en connaissant un niveau de référence.

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Cet appareil est conservé dans un boitier en bois. Il se compose d'une lunette de visée avec un objectif et un oculaire. Une vis permet d'effectuer la mise au point de l'image. La lunette est fixée à une armature verticale munie d'un arc de cercle divisé en tangentes du côté de l'oculaire et comportant des graduations de 0 à 200. Une loupe fixée sur cette armature permet de lire avec plus de précision les graduations sur l'arc de cercle. La lunette peut pivoter selon un plan vertical pour effectuer une mesure de pente. Une vis permet de bloquer la rotation. La lunette est solidaire d'un premier plateau circulaire pouvant tourner dans le plan horizontal.Sur sa face supérieure sont notées deux verniers de 0 à 50. Un deuxième plateau situé à l'extérieur du premier peut tourner de manière indépendante. Sur sa face supérieure sont notées des graduations tous les degrés de 0 à 400 grades. Un étau fermé par une vis dans la partie supérieure permet de rendre solidaire ou non ces deux parties. Le deuxième plateau se prolonge par le bas par un autre disque qui peut tourner de manière indépendante par rapport au socle. De même que précédemment, un étau fermé par une vis dans la partie inférieure permet de rendre solidaire ou non ces deux parties. Le socle est constitué par trois vis calantes permettant de régler l'horizontalité. Ceci est vérifié au moyen d'un niveau à bulle divisé placé dans un tube métallique et situé sur le premier plateau.Pour chacune des mesures, il est nécessaire de vérifier l'horizontalité de l'appareil, fixé à un trépied, à l'aide des vis calantes et du niveau à bulle. Cet appareil permet d'effectuer des visées et de mesurer des angles dans un plan horizontal. L'arc de cercle vertical est divisé en tangentes et donne la pente par mètre par un trait de repère. Cet appareil utilisé en topographie permet des relevés de terrains ou des implantations de projets. Cet appareil est utilisé pour la mesure des pentes de différents points de manière indirecte en s'aidant d'une mire.

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