Explicit and Implicit Attitudes of Canadian Psychiatrists Toward People With Mental Illness.
In: Canadian Journal of Psychiatry, Jg. 60 (2015-10-01), Heft 10, S. 451-459
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Objective: People with mental illness suffer stigma and discrimination across various contexts, including the health care setting, and clinicians' attitudes play an important role in perpetuating stigma. Effective stigma-reduction interventions for physicians require a better understanding of explicit (that is, conscious and controllable) and implicit (that is, subconscious and automatic) forms of bias, and of predictors and moderators of stigma. Methods: Members of a Canadian university psychiatry department and of the Canadian Psychiatric Association (CPA) were invited to participate in a web-based study consisting of 2 measures of explicit attitudes, the Social Distance Scale (SDS) and the Opening Minds Scale for Health Care Providers (OMS-HC), and 1 measure of implicit attitudes, the Implicit Association Test (IAT). Results: Thirty-five psychiatry residents and 68 psychiatrists completed the study (response rates of 12.1% for the university sample and 3.3% for the CPA sample). Participants desired greater social distance from the vignette patient with schizophrenia. Mean IAT scores, although negative, did not reach the threshold for a meaningful effect size. Patient contact positively predicted IAT scores, while age, sex, and level of training (resident, compared with psychiatrist) did not. Neither patient contact nor implicit attitudes predicted SDS or OMS-HC scores. Conclusion: Psychiatrists did not differ from psychiatry residents on any measures of explicit or implicit attitudes toward mental illness. Explicit attitudes toward people with mental illness were relatively negative; implicit attitudes were neither negative nor positive; and implicit and explicit attitudes were not correlated. Greater patient contact predicted more positive implicit attitudes, but did not predict explicit attitudes. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
Objectif : Les personnes souffrant de maladie mentale subissent la stigmatisation et la discrimination dans divers contextes, y compris le milieu des soins de santé, et les attitudes des cliniciens jouent un rôle important dans la perpétuation des stigmates. Les interventions efficaces de réduction des stigmates pour les médecins exigent de mieux comprendre les formes de biais explicites (c'est-à-dire, conscientes et contrôlables) et implicites (c'està-dire, inconscientes et automatiques), ainsi que les prédicteurs et modérateurs des stigmates. Méthodes : Des membres d'un département de psychiatrie d'une université canadienne et de l'Association des psychiatres du Canada (APC) ont été invités à participer à une étude en ligne consistant en 2 mesures des attitudes explicites, l'échelle de distance sociale (SDS) et l'échelle d'ouverture d'esprit pour les prestataires de soins de santé (OMS-HC), et en 1 mesure des attitudes implicites, le test d'association implicite (IAT). Résultats : Trente-cinq résidents en psychiatrie et 68 psychiatres ont répondu à l'étude (taux de réponse de 12,1 % pour l'échantillon universitaire et de 3,3 % pour l'échantillon de l'APC). Les participants désiraient une plus grande distance sociale du patient de la vignette souffrant de schizophrénie. Les scores moyens à l'IAT, bien que négatifs, n'atteignaient pas le seuil d'une taille de l'effet significative. Le contact avec le patient prédisait positivement les scores à l'IAT, mais pas l'âge, le sexe, ni le niveau de formation (résident comparé à psychiatre). Le contact avec le patient ni les attitudes implicites ne prédisaient les scores à la SDS ou à la OMS-HC. Conclusion : Les psychiatres ne différaient pas des résidents en psychiatrie à aucune mesure des attitudes explicites ou implicites à l'égard de la maladie mentale. Les attitudes explicites à l'endroit des personnes souffrant de maladie mentale étaient relativement négatives; les attitudes implicites n'étaient ni positives ni négatives; et les attitudes implicites et explicites n'étaient pas corrélées. Un plus grand contact avec le patient prédisait plus d'attitudes implicites positives, mais ne prédisait pas d'attitudes explicites. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
Titel: |
Explicit and Implicit Attitudes of Canadian Psychiatrists Toward People With Mental Illness.
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Autor/in / Beteiligte Person: | Dabby, Layla ; Tranulis, Constantin ; Kirmayer, Laurence J. |
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Zeitschrift: | Canadian Journal of Psychiatry, Jg. 60 (2015-10-01), Heft 10, S. 451-459 |
Veröffentlichung: | 2015 |
Medientyp: | academicJournal |
ISSN: | 0706-7437 (print) |
DOI: | 10.1177/070674371506001006 |
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