The effects of 8 weeks of motor skill training on cardiorespiratory fitness and endurance performance in children with developmental coordination disorder.

Interventions based on everyday motor skills have been developed to be effective in children with developmental coordination disorder (DCD). The purpose of the present study was to examine the effects of motor skill training on exercise tolerance and cardiorespiratory fitness in children with DCD. Children were assigned to 3 groups: an experimental training group comprising 14 children with DCD, a control nontraining group comprising 13 children with DCD, and a control nontraining group comprising 14 typically developed children. All participants were tested twice with an interval of 8-weeks on a cardiopulmonary exercise test, pulmonary function testing, and a 6-min walk test. After the training program the maximal power output was significantly increased for DCD group at anaerobic threshold ( p < 0.05) and at peak level (maximal oxygen uptake, p < 0.001). Improvement in power output was more pronounced at the anaerobic threshold ( t (13) = −5.21, p < 0.001) than at the maximal intensity (maximal oxygen uptake, t (13) = −3.08, p < 0.01) in the DCD training group. Children with DCD that participated in the training program improved their walking distance ( t (13) = −9.08, p < 0.001), had a higher maximum heart rate ( t (13) = −3.41, p < 0.01), and reduced perceived exertion ( t (13) = 2.75, p < 0.05). The DCD nontraining group and the typically developed group did not change on any of the measures. In conclusion, training delayed reaching the anaerobic threshold and improved aerobic endurance and exercise tolerance in children with DCD. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Des interventions axées sur les habiletés journalières ont été élaborées pour s'appliquer efficacement chez des enfants aux prises avec des troubles de l'acquisition de la coordination (« DCD »). Cette étude se propose d'examiner les effets de l'entraînement aux habiletés motrices sur la tolérance à l'exercice et la capacité cardiorespiratoire chez des enfants présentant des DCD. On répartit des enfants dans trois groupes : un groupe expérimental comprenant 14 enfants présentant des DCD et s'entraînant, un groupe de contrôle comprenant 13 enfants présentant des DCD et ne s'entraînant pas et un groupe de contrôle comprenant 14 enfants au développement normal et ne s'entraînant pas. On évalue deux fois les sujets à 8 semaines d'intervalle : test d'effort cardiopulmonaire, test des fonctions pulmonaires et test de 6 min de marche. À la suite du programme d'entraînement, on observe dans le groupe DCD une amélioration significative de la puissance maximale produite au seuil anaérobie (AT, p < 0,05) et à l'effort de pointe (consommation maximale d'oxygène, p < 0,001). Dans le groupe DCD s'entraînant, l'augmentation de la puissance produite est plus élevée au seuil anaérobie (« AT », ( t (13) = −5,21, p < 0,001) qu'à l'effort maximal (consommation maximale d'oxygène, t (13) = −3,08, p < 0,01). Le groupe DCD participant à l'entraînement augmente sa distance de marche ( t (13) = −9,08, p < 0,001), présente une fréquence cardiaque maximale plus élevée ( t (13) = −3,41, p < 0,01) et une perception d'une plus faible intensité de l'effort ( t (13) = 2,75, p < 0,05). On n'observe aucun changement de valeurs des variables dans les deux autres groupes. En conclusion, l'entraînement repousse le seuil anaérobie et améliore l'endurance aérobie ainsi que la tolérance à l'effort chez les enfants aux prises avec des DCD. [Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]